![]() |
Leibniz selon les Nouveaux essais sur l’entendement humainFrançois Duchesneau et Jérémie Griard (dir.)
En réimpression
Ont collaboré à ce volume : Ph. Beeley, A. Blank, G. Boros, H. Breger, Fr. Duchesneau, M. de Gaudemar, J. Griard, G.A. Hartz, J.-E. Jones, M. Kulstad, Ch. Leduc, O. Nachtomy, M. Parmentier, P. Phemister, H. Poser, J.-B. Rauzy, Patrick riley, Justin E. H. smith, V. Sullerot, E. Vargas, C. Wilson Dramatisation d’un dialogue souhaité par Gottfried Wilhelm Leibniz (1646-1716) mais refusé par John Locke (1632-1704), les Nouveaux Essais sur l’entendement humain (1704) mettent en scène Théophile et Philalèthe : et Leibniz pouvait ainsi donner la réplique à l’Essay concerning Human Understanding (1690)de Locke. Longtemps considérés comme la simple synthèse de la philosophie leibnizienne, les Nouveaux Essais ne nous présentent-ils pas plutôt le philosophe de Hanovre empruntant des pistes originales d’analyse et offrant des orientations épistémologiques plus marquées que dans toute autre de ses œuvres? S’intéressant à l’Essay, Leibniz avait déclaré : « […] j’ai fort médité moi-même sur ce qui regarde les fondements de nos connaissances. […] De toutes les recherches il n’y a point de plus importante, puisque c’est la clef de toutes les autres ». Ce sont les tenants et les aboutissants de ce jugement de Leibniz,qui fixait ainsi – par anticipation – le propos des Nouveaux Essais, auxquels les auteurs ont ici consacré leurs analyses.
Bellarmin / Vrin - Analytiques
320 pages - 16 × 24 cm ISBN 978-2-7116-8349-9 - septembre 2006 |